Pour introduire son propos, Gérard Gomez ne peut éviter un commentaire sur le contexte politique actuel : « Nous attendons avec impatience le retour de la confiance et de la croissance alors que les entreprises artisanales connaissent actuellement une consommation atone des ménages et des investissements en berne ». Et d’ajouter aussitôt sur son autre sujet de préoccupation du moment : « La situation budgétaire nécessite de nouvelles économies et nous craignons que l’apprentissage fasse les frais de ces coupes financières ».
Une baisse régionale des apprentis
Passé ce préambule de circonstance, les chiffres développés par le président de la…