Lundi 20 octobre, les délégués du personnel des Papeteries de Condat ont appris lors d’un conseil économique et social (CSE) extraordinaire que leur direction allait demander le placement en redressement judiciaire de leur entreprise auprès du tribunal de commerce spécialisé de Bordeaux. But de la manœuvre : obtenir un cadre sécurisé pour rechercher toutes les solutions de reprise de son site et la sauvegarde d’un maximum d’emplois.
Cette annonce intervient deux semaines après celle de la mise en vente de l’usine, lundi 9 octobre.
Le site emploie un peu plus de 200 personnes. Il y a deux ans, l’arrêt de la ligne de fabrication de papier couché a entraîné la suppression d’un peu plus de 170 salariés.