À l’heure où les tendances économiques ne sont guère enthousiasmantes, en particulier dans l’hôtellerie-restauration, rencontrer Cédric Sender, le patron du Dolce Cubana qui vient de fêter les 18 ans de son établissement, est une véritable bouffée d’oxygène. C’est d’abord avec humour qu’il répond à notre question sur son ressenti alors qu’il vient de célébrer en janvier dernier la majorité de son Dolce Cubana : « Je me la pète à fond ! Plus sérieusement, évidemment j’en suis fier car ce n’est jamais évident de rester aussi longtemps dans le monde de l’entreprise. Mon emprunt remboursé, j’aurais pu vendre, j’ai préféré agrandir ».
Un restaurant…
Le restaurant du Dolce Cubana est ouvert du mardi au vendredi avec une formule du midi et le soir des tapas sont proposés du mardi au dimanche. Avec 50 couverts à l’intérieur et autant en terrasse, l’endroit peut accueillir…