Couverture du journal du 01/05/2025 Le nouveau magazine

Pour une industrie plus verte

Labellisé « Territoire d’industrie 2023-2027 », le plan d’actions élaboré par l’association d’élus et d’industriels du Pays basque a été présenté à Bayonne le 15 décembre. Soutenant la transition écologique de l’industrie comme le demande ce programme national, ce plan renforce aussi des projets déjà lancés sur le territoire de la Communauté Pays basque.

Émilie Dutoya (Région Nouvelle-Aquitaine), Julien Charles (Préfet 64), Jean-Baptiste Gueusquin, Sylvie Durruty, Mikel Charriton, Fabrice Rosay (sous-préfet Bayonne), André Garreta (CCI Bayonne Pays Basque) © V. Biard

Émilie Dutoya (Région Nouvelle-Aquitaine), Julien Charles (Préfet 64), Jean-Baptiste Gueusquin, Sylvie Durruty, Mikel Charriton, Fabrice Rosay (sous-préfet Bayonne), André Garreta (CCI Bayonne Pays Basque) © V. Biard

« La force du projet Territoire d’industrie est la connexion entre le monde des élus et celui des industriels », assurait Mikel Charriton, directeur général du groupe industriel basque Lauak lors de la présentation, le 15 décembre dernier, du programme « Territoire d’industrie Pays basque 2023-2027 ». Présidant l’association « Pays basque industries » spécifiquement créée pour intégrer les industriels basques à ce programme national décliné en 183 projets territoriaux, Mikel Charriton pilote ce projet avec Sylvie Durruty, vice-présidente de l’Agglomération Pays basque en charge de l’économie et de l’innovation.

55 entreprises industrielles associées au projet

L’association « Pays basque industries » rassemble 55 entreprises de 15 filières et représente 4 000 emplois. Les services de l’Agglomération Pays basque ont pu ainsi s’appuyer sur l’expérience des industriels locaux pour rédiger un « Plan d’actions initial » décliné en quatre axes principaux : transition écologique, innovation, compétences, foncier. L’objectif est de présenter des projets susceptibles d’être accompagnés, soutenus et si possible financés par les collectivités territoriales locales et l’État.

100 millions d’euros du fonds vert