C’était un pari risqué lancé au printemps dernier par l ’ é q u i p e organisatrice. Avec une enveloppe des cachets artistiques passant de 5 à 3 millions d’euros, beaucoup craignaient l ’avènement d’un Garorock post-Covid moins ambitieux. Fini l’objectif d’atteindre les 200 000 festivaliers, l’heure était au retour aux sources avec la découverte de jeunes talents et la promotion d’une « Garo Expérience » unique dans le monde des festivals.
CONVIVIALITÉ MADE IN SUD-OUEST
Et il s’avère que la mayonnaise a très bien pris. Il était plus qu’agréable de se balader sur cette plaine garonnaise qui alliait le charme d’une fête foraine avec des attractions comme la grande roue, la piste de roller, la scène rock façon chapiteau de cirque et tous les bars à ambiance qui donnaient des airs de ferias au Garorock. Si l’on ajoute à cela un espace restauration qui fleurait bon le c…