Les cinéphiles n’auront pas manqué de remarquer la référence au film Matrix dans le nom de cette jeune société agenaise. Au-delà du clin d’œil à ce film mythique, le nom de Morphaius vient également de la mythologie et de la divinité mineure des rêves, Morphée. Cette métaphore symbolise bien la vision défendue par Clément Faure, fondateur avec son frère de Morphaius, dans le débat qui agite nos sociétés sur la place de l’IA. En effet, parmi les trois piliers qui font l’ADN de cette start-up agenaise (l’accessibilité, la sécurité des données et l’humain), la place de l’humain reste centrale quand beaucoup voit l’IA comme une concurrence.
« L’IA au service de l’humain et non l’inverse »
« L’IA doit être un outil au service de l’humain et non l’inverse », tempère Clément Faure qui forme ses clients à ses différents outils pour les accompagner dans leur montée en compétences. Tout en argumentant sur les gains de temps majeurs réalisés par exemple grâce à Meet Plus (qui réalise en quelques secondes des synthèses de réunions et d’enregistrements audio), le président de Morphaius souligne que cet outil permet aux interlocuteu…