Pour Steve Gallais, le swing ne s’apparente pas à celui vibrionnant de Gilbert Bécaud en son temps surnommé « Monsieur 100 000 volts ». Le « swing », pour lui, est plutôt à rattacher au green de golf. « Je me suis posé la question de faire carrière dans ce sport quand j’étais jeune, mais je voyais de supers joueurs dormir dans leur voiture car ils n’arrivaient pas à en vivre. Moi qui n’avais pas leur niveau, j’ai pris la décision d’arrêter à 18 ans. » Qu’à cela ne tienne, ce Toulousain, qui a grandi dans le quartier Saint-Georges, peut compter sur son autre passion de jeunesse : le graffiti. « Je peins depuis l’adolescence et ma découverte du mouvement hip-hop. Ça peut paraître à l’opposé du golf mais ça reflète bien ma personnalité où je côtoie des cercles d’amis très divers. » Il rencontre les pionniers du street-art qui ont débuté…
Steve Gallais : Monsieur 100 000 volts
Ambitieux et passionné, ce Toulousain pur jus veut placer Verywell sur la carte des agences influentes. Mais il est aussi un homme aux loisirs aussi multiples qu’improbables.

Steve Gallais, en pleine action © Louis Piquemil - La Vie Economique