Élu conseiller municipal en 1977, alors qu’il effectuait son service militaire, il a eu envie de s’impliquer davantage au terme de cet apprentissage, et il est devenu maire dès 1983. « Il n’y avait pas encore d’adduction d’eau dans les 45 hameaux de Saint-Jory-de-Chalais… Ce n’est pas si loin, s’en souvient-on ? » Il est maire depuis lors et s’est impliqué dans des instances de représentation. En 1995, il préside le comité d’entreprise des collectivités locales, comité départemental d’action sociale passé de 7 à désormais 494 adhérents pour 6 000 ressortissants : c’est le plus gros CE de Dordogne. « Je suis fier d’avoir généralisé l’action sociale pour le personnel des collectivités. » Cet organisme paritaire lui a donné une visibilité, à travers le centre départemental de gestion des personnels et diverses présences dans les syndicats départementaux, pour accéder à la présidence de l’Union des maires, de 2014 à 2020. « En plus de la connaissance du terrain, c’est beaucoup de réunions chronophages et du travail en commission pour pouvoir défendre les dossiers. » La Covid les a mutées en « visioconférences jusqu’à 70 qui mobilisent l ’énergie pour maintenir l’intérêt de tous ».
2015, c’est l’époque des baisses de dotation de l’État, dans le sillage de la loi NOTRe (n…